ADOLF HIBOU

Antifofiaaaal, tu peeeerds ton faaaaan froooooiiiiiid.
Adolf Hibou, c’est un Boys Band inclassable, à la croisée des mondes entre les violentes circonvolutions de l’univers, toujours teinté d’une certaine force singulière, évoluant aux multiples facettes qui rougeoient et bourgeonnes face à l’obscène vacuité de l’existence, inavouable végétation du paraître qui nous berce de son infini candeur sans jamais trahir le fil frêle et fragile, mais pourtant imbrisable d’un temps révolu où rien jamais ne vibrera autant que mon cœur contre ton cœur, et cette pluie de Décembre les enivrait tous, malgré moi je restais clos et rigide, tel un coffre aux charnières rouillées, usées, comme figé dans une épaisse toile d’entropique poussière, et d’illusions perdues.

Adolf Hibou, it is an unclassifiable Boys Band, at the crossroads of the worlds between the violent convolutions of the universe, always tinted of a certain singular force, evolving in the multiple facets which redden and bud in front of the obscene vacuity of the existence, unavowable vegetation of the appearance which rocks us of its infinite candour without never betraying the frail and fragile thread, but nevertheless unbreakable of a bygone time where nothing will ever vibrate as much as my heart against your heart, and this rain of December intoxicated them all, in spite of me I remained closed and rigid, like a trunk with the rusty hinges, worn, as frozen in a thick fabric of entropic dust, and lost illusions.